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Tous les numéros du Journal de Monaco en ligne

9/15/2016

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Dans le cadre d’une nouvelle réunion de la Commission consultative des Archives de l’Etat, qui se tient ce jour au Ministère d’Etat, Robert Colle, Secrétaire Général du Gouvernement, vient de procéder à la mise en ligne intégrale du Journal de Monaco. Communément appelé « journal officiel », cette publication sera désormais accessible sous l’adresse : www.journaldemonaco.gouv.mc. Le public pourra y retrouver l’ensemble des journaux, depuis le premier numéro, paru le 30 mai 1858, tous disponibles en pdf. A ses origines, outre la partie officielle, le Journal de Monaco, dénommé d’abord L’Eden, comprenait une partie consacrée à la vie du pays. Le moteur de recherche, particulièrement développé, permet la sélection par année, catégorie et thème, des textes législatifs et réglementaires mais également une recherche en plein texte des évènements historiques et sociaux de la vie de la Principauté de la fin du XIXe et du début du XXe siècle. En fonction des résultats trouvés, un onglet « Affiner » facilite la démarche finale. Un éditorial de présentation permettra régulièrement de mettre en lumière, en fonction de l’actualité, les grands événements passés de la vie du pays. Une version pour tablette et smartphone a également été développée, ainsi qu’une interface en anglais. De plus, l’abonnement électronique au sommaire du Journal de Monaco est directement accessible depuis ce nouveau site tout comme la demande d’abonnement à l’édition papier. Pour mémoire, la Commission consultative des Archives de l’Etat (CCAE) a été créée par Ordonnance Souveraine n° 3.413 du 29 août 2011, en même temps que le Service Central des Archives et de la Documentation Administrative (SCADA). Cette commission, présidée par Corinne Laforest de Minotty, Chef de l’Inspection Générale de l’Administration, a pour vocation de « formuler, à l’intention du Ministre d’État, toutes propositions ou recommandations de nature à orienter ou à améliorer la gestion des archives publiques ». Elle est composée de représentants du Gouvernement Princier et de trois experts nommés par le Ministre d’Etat : Evelyne Van den Neste, Chef du Service des archives et de l’information documentaire à la Présidence de la République française, Olivier Poncet, professeur d’histoire des institutions, d’archivistique et de diplomatique de l’époque moderne à l’Ecole Nationale des Chartes, et Thomas Fouilleron, Directeur des Archives et de la Bibliothèque du Palais Princier. Parmi les premières recommandations de la Commission, a figuré la numérisation de documents d’archives gouvernementaux à valeur historique ou patrimoniale. La mise en ligne du Journal de Monaco s’inscrit donc dans cette démarche et fait de la Principauté de Monaco l’un des rares Etats à proposer en ligne l’intégralité de la collection de son « journal officiel ».

© - Direction de la Communication – Manuel Vitali

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« POUR MECAPLAST, LES INGÉNIEURS ET LES CHERCHEURS LOCAUX SONT UN ATOUT PRÉCIEUX »

9/7/2016

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Thierry Marini, à la tête de Mecaplast ©J-F Ottonello/PhotoPQR/Nice Matin

Thierry Marini, diplômé d'une école de commerce de 47 ans a donné un nouvel élan à l'entreprise familiale Mecaplast en ouvrant son capital. Interview.
Thierry Marini dirige cet équipementier automobile au bord de la faillite en 2008. Aujourd'hui, Mecaplast multiplie les usines en Chine et au Mexique, et compte bien débarquer aux Etats-Unis. Rencontre avec le patron de cette entreprise basée à Monaco.
Thierry Marini, diplômé d'une école de commerce de 47 ans a donné un nouvel élan à l'entreprise familiale Mecaplast en ouvrant son capital. Interview.
Capital : Vous êtes arrivé aux commandes de Mecaplast en 2008 alors qu'il traversait la plus grave crise de son histoire. Quelles ont été vos premières décisions ?
Thierry Marini : La crise du secteur automobile nous a effectivement frappés de plein fouet. Certains de nos sites ont perdu 60% de leur activité quasiment du jour au lendemain. Il a fallu essayer de stopper l'hémorragie, c'est-à-dire couper les frais, les coûts, les déplacements, en attendant que l'orage passe tout en cherchant à garder les équipes motivées. La grosse difficulté a été la rapidité avec laquelle la crise a impacté nos opérations : quand vous perdez plusieurs dizaines de milliers d'euros par jour, vous êtes dans une impasse. Garder son personnel devient difficile. Il y a eu beaucoup de démissions car les gens n'ont plus eu confiance dans l'entreprise.
Il a fallu serrer les boulons et, une fois toutes nos ressources financières épuisées, nous avons décidé de faire appel à un partenaire, le Fonds de modernisation des équipementiers automobiles de la BPI, afin de ne pas déposer le bilan. Il est entré au capital, nous a permis de renforcer nos fonds propres et de passer cette mauvaise période. Ensuite, cela a été un gros travail de restructuration et de réorganisation du groupe.
Capital : Mecaplast était depuis sa création en 1955 une entreprise familiale. Or vous venez de céder 75% du capital au fonds d'investissement Equistone. Pourquoi ?
Thierry Marini : Nous avons redressé l'entreprise : elle est redevenue rentable, avec 750 millions d'euros de chiffre d'affaires et 6.000 salariés. Mais elle restait fragile. Nous avions besoin de puissance supplémentaire pour accélérer. Vous savez, dans le secteur de l'équipement automobile, il faut pouvoir se payer à la fois son développement et son business en finançant les études des produits que vous réclament vos clients. En clair, pour prendre une commande chez un constructeur, il faut avoir les moyens de financer son développement pendant deux ans environ.
Jusqu'alors, c'était difficile et cela pesait sur notre croissance. L'arrivée d'Equistone nous permet de soutenir notre développement organique et d'envisager des acquisitions stratégiques pour nous diversifier en termes de clients, de produits et de territoires.
Capital : Quelles sont vos priorités en matière de croissance externe  ?
Thierry Marini : Nous avons des projets sur lesquels nous travaillons déjà comme le Maroc, où nos clients et PSA nous demandent de nous implanter, le Portugal et le Mexique, où l'on a déjà une très belle usine à Puebla et où l'on va en inaugurer une deuxième en fin d'année à Silao. Partout, nous accompagnons les constructeurs : ce n'est pas une politique de délocalisation, il s'agit bien de décentralisation pour alimenter les usines d'assemblage de nos clients.
Nous avons ainsi également quatre usines en Chine, notamment dans le centre du pays, à Wuhan, pour livrer non seulement les usines Citröen de PSA, mais aussi des équipementiers chinois, cela afin d'éviter de dépendre d'un seul client. Nous sommes présents en Inde pour alimenter les sites de production de Renault et de Nissan. Et nous nous intéressons aujourd'hui aux Etats-Unis et à l'Allemagne, où nous ne sommes pas encore installés alors que ce sont deux marchés extrêmement importants. Nous livrons déjà Volkswagen et BMW en Chine localement, et nous souhaitons travailler avec eux en Allemagne. Mais il est clair que, pour réussir cela, il nous faut avoir une implantation ou un partenariat local, et nous y travaillons.

Capital : Quelle est la part de votre chiffre d'affaires actuellement réalisé hors d'Europe  ? Et jusqu'où peut-elle monter  ?
Thierry Marini : Aujourd'hui, nous sommes à 24% de notre chiffre d'affaires hors d'Europe. Mais notre carnet de commandes est, lui, déjà à 34%. Après, cela dépendra largement de la stratégie des constructeurs : pour l'essentiel, ce sont eux qui pilotent, et nous, nous suivons. En revanche, nous nous sommes fixé comme objectif avec nos actionnaires d'Equistone de doubler notre chiffre d'affaires global, pour atteindre 1,5 milliard d'euros.
Capital : Vous avez annoncé récemment la construction d'usines en Slovaquie et au Mexique. Cela implique-t-il que vous n'envisagez plus de développement en France  ?
Thierry Marini : Vous avez raison, je ne crois plus au développement d'usines Mecaplast dans l'Hexagone. Tout simplement parce que les constructeurs ont baissé leur production domestique, passée de 3,5 millions de véhicules il y a quelques années à 1,8 million aujourd'hui. Et je n'imagine pas que cela remonte de façon significative. Pour autant, Mecaplast* reste un groupe franco-monégasque, avec son siège à Monaco et des bureaux d'études en France.


*Mecaplast, qui a été fondé à Monaco, y conserve, outre son siège et un centre de développement, une petite unité de production de pièces en plastique 
 

Source

Capital.fr

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BOUYGUES CONSTRUCTION LANCE LES TRAVAUX D’EXTENSION EN MER DE MONACO

9/7/2016

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Dans le cadre du projet d’urbanisation en mer de l’Anse du Portier de la Principauté de Monaco mené par la S.A.M de l’Anse du Portier, Bouygues Travaux Publics, filiale de Bouygues Construction, démarre les travaux de l’Infrastructure maritime qui va constituer la première phase de cette extension de 6 hectares de la Principauté de Monaco sur la mer. Le montant global des travaux d’infrastructure maritime est de l’ordre de 1 milliard d’euros.
« Nous sommes très heureux d’avoir l’opportunité de participer au développement de la Principauté de Monaco à travers ce nouveau projet d’urbanisation en mer consistant à créer un nouveau lieu de vie de 6 hectares, avec une forte ambition concernant le développement durable et la protection de l’environnement » déclare Philippe Bonnave, Président-directeur général de Bouygues Construction.
Le projet comprend la réalisation d’un éco-quartier comportant principalement des logements (60 000m²), des équipements publics, l’extension du Grimaldi forum, un parking public, un port d’animation avec quais piétonniers, un parc végétalisé, une promenade littorale ainsi qu’un passage ombragé dans la verdure, le long du jardin japonais.
La technique choisie pour réaliser l’infrastructure maritime est celle d’un remblai confiné par une ceinture de 18 caissons trapézoïdaux en béton armé hauts de 26 mètres et pesant 10 000 tonnes chacun, munis de chambres d’amortissement. Préfabriqués, ils permettront de diminuer les franchissements par fortes houles protégeant les parties exposées du projet.
La protection de l’environnement, la préservation de la biodiversité – avec la proximité de la réserve du Larvotto et le tombant des Spélugues – et le respect du voisinage, des sites et des paysages feront l’objet d’une attention toute particulière. L’éco-quartier bénéficiera ainsi de certifications environnementales reconnues telles que HQE Aménagement, BREEAM et Label Port Propre.
Bouygues Construction a développé une forte expertise en matière de conception et de construction d'infrastructures maritimes. Le Groupe a réalisé le complexe de Tanger Med au Maroc, constitué de trois ports édifiés de 2003 à 2014. Il a livré en 2011 le port de Pusan en Corée du Sud, le quatrième port à containers du monde et a été choisi pour concevoir et construire l’extension du nouveau port de Calais.


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Assises de la sécurité 2016 : rendez-vous à Monaco du 5 au 8 octobre 2016

9/7/2016

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La 16e édition des Assises de la sécurité des systèmes d'information se tiendra début octobre à Monaco. RSSI, DSI, fournisseurs et experts pourront profiter des nombreux ateliers et retours d'expérience.
Les Assises se rapprochent. L'édition 2016 des Assises de la sécurité et des systèmes d'information, dont le JDN est partenaire, aura lieu cette année du 5 au 8 octobre. Comme d'habitude, l'événement de référence sur son secteur se déroulera à Monaco, et en grande partie au Grimaldi Forum. Des cocktails auront également lieu le soir au Méridien Beach Plaza et au Monte-Carlo Bay, et l'événement se conclura par un brunch et des activités de détente organisées le samedi 8 octobre au Monte-Carlo Bay.
L'événement s'ouvrira avec la traditionnelle conférence du directeur général de l'Anssi, Guillaume Poupard. Des keynotes donneront par ailleurs plus tard la parole à des responsables chez Thales, RSA, IBM et Palo Alto Networks. L'invité de la conférence plénière sera cette année le mathématicien Cédric Villani.
Evidemment, en plus, de très nombreux ateliers aborderont les principales tendances du secteur. A cette occasion, fournisseurs mais aussi DSI et RSSI viendront apporter leurs éclairages. Des  retours d'expérience d'EDF, d'AXA Investment Managers, de Kiloutou, de la Stime (Les Mousquetaires), de Moët-Hennessy, et de la Société Générale sont programmés. En tout, pas moins de 160 ateliers et conférences seront proposés.
L'année dernière, les Assises avaient réuni 2300 professionnels.

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